Christophe Parole de chanson ÉpouvantailDans un désert de béton bleu, bien médiéval
comme dans un palais de cristal
là où tournait toujours, toujours, comme un cheval
l'énorme moteur sourd, infernal
je vivais là, le jour, la nuit
dans la centrale, j'étais
l'épouvantail, mort sur la paille
A une longue vie de labeur et de semailles,
moi j'ai préféré le goût de la paille
là où tourne, tourne, toujours, comme un cheval
le grand moteur sourd de la centrale
je t'attends là, le jour, la nuit
dans la centrale, je suis
l'épouvantail, mort sur la paille.