Cristof Gere Parole de chanson Ecoutez-moiRepose ton âme, ô voyageur en exil,
Quand tout change en toi, ton élan est le même.
Laisse ton cœur aux gardiens de la ville,
Qu'il soit montré à tous ceux que l'espoir malmène.
Des rires et des pleurs s'enlacent sans s'être choisis
Et naissent de leur union des âmes sans corps.
Mais non loin des remparts de ton monde aussi,
Ce visage dont tu n'espérais ni les larmes, ni le sort.
Ecoutez-moi
Je n'oublierais pas vos visages
Ils sont bien plus que des images
De ces instants passés déjà
Ecoutez-moi
J'pourrai pas vivre en exilé
Levant les yeux les soirs d'été
Vers la nostalgie d'autrefois
d'autrefois
Dans ton océan passé, un port tu as déjà bâti
Nouvel espoir qui jaillit d'entre les morts.
Tu y surprends un navire par ses amarres soumis,
Douce réponse qui t'attend à l'aurore...
Laissez-moi vous dire
Combien demain me paraît fade
Plongeant dans le creux de la vague
J'entends l'écho de nos fous rires
Laissez-moi sentir
La présence de vos âmes
Je surveill'rai toujours la flamme
Qui cesse de nous réunir
nous réunir
Laissez-moi ici, je n'veux plus partir
Laissez-moi ici, je verrai l'avenir
Nous étions unis, ça pouvait durer
Mais le temps et la vie nous ont éloignés
Ecoutez-moi
Tout ceci n'est pas un adieu
C'est just' un peu de poudr' aux yeux
Pour vous dire que je regrette déjà...