Francis Cabrel Parole de chanson Si tu la croises un jourElle n'aimait pas mon deux pièces séjour
Toi qui voyages si tu la croises un jour
Reviens me dire, reviens me dire
Dis-moi un peu si elle porte toujours
Dans les cheveux ses essences d'amour
Et tous mes rêves sur ses lèvres
Mais promets-moi
Ne t'approche pas trop
Si tu poses tes doigts
Au bronze de sa peau
Tu délires, tu délires.
Sans me méfier
Je l'ai serré très fort
Aujourd'hui encore
J'en ai les yeux qui brûlent, qui brûlent.
Elle, elle a l'âge des voyages au long cours
Des princes arabes et mariages d'amour
Des esclaves libres, des histoires à suivre...
Moi je ne rentrais souvent qu'un soir sur deux
Et mes amis étaient des gens curieux
Difficile à suivre, dis-lui, je réapprends à vivre.
Mais promets-moi
Ne t'approche pas trop
Si tu poses tes doigts
Au bronze de sa peau
Tu délires, tu délires.
Sans me méfier
Je l'ai serré très fort
Aujourd'hui encore
J'en ai les yeux qui brûlent, qui brûlent.
Elle n'aimait pas mon deux pièces séjour
Toi qui voyages si tu la croises un jour
Reviens me dire, reviens me dire.
Dis-lui que pour elle je donnerais
Mon dernier souffle et même celui d'après...