Fredericks, Goldman et Jones Parole de chanson Je l'aime aussiOn devrait pas croiser dans les rues
Les beaux regards des belles inconnues
Surtout ne plus entendre les voix
De ces sirènes aux parfums hors la loi
J'ai pas tué, pas nié, pas volé
Pas même réussi à regretter
Quand j'suis contre elle, c'est pas contre toi
Et quand on aime, d'abord, on n'compte pas
On pardonne un jour tous les faits de guerre
On n'oublie guère les effets de l'amour
Banale histoire anormale, amorale
Illégal écart entre bien et mal
Belle et blasphème la même nouvelle
Primo je t'aime, t'aime
Mais qu'y puis-je si j'l'aime aussi ?
On n'aura jamais de train pour l'amour
Jamais d'horaires, de rails, sans détours,
La vie, j'l'aime aussi
Et Rome sermonne et clochers carillonnent
Y en a pourtant tant qui n'aiment personne
Si l'homme occidental est monogame
Sait-on si l'amour l'est aussi ?
Pas loin d'ici, à quelques kilomètres
L'on dit que le "game est poly"
Jules et Jim et Jeux interdits
Quand les musiques en trio sont jolies
Dites-moi qui, qui mérite ici
L'exclusivité de toute une vie ?
Banale histoire anormale, amorale
Illégal écart entre bien et mal
Belle et blasphème la même nouvelle
Primo je t'aime, t'aime
Mais qu'y puis-je si j'l'aime aussi
On n'aura jamais de train pour l'amour
Jamais d'horaires, de rails sans détours,
La vie, j'l'aime aussi
Et Rome sermonne et clochers carillonnent
Y en a pourtant tant qui n'aime personne
La vie, j'l'aime aussi
Dans les marées basses du manque d'amour
Bénis les vivants même à double tour d'envie
J'l'aime aussi
Où et quand, à qui, de quoi s'excuser
Y en a tant qui haïssent à volonté