Jean Leloup Parole de chanson ForestIt's not my fault that you lost your way,
Your insanity will prevail.
It's not my fault that you lost your way,
Your insanity will prevail.
It's not my fault that you lost your way...
Nous étions tous en voyage, quand un brouillard s'approche
C'est la forêt des regrets amers, des doutes sans rémissions
à gauche, une vieille femme me dit
Ne faites jamais ce que je fis
Qu'est-ce que vous faites ?
Je ne fis rien, je ne fis rien de ma vie
Y a-t-il un meurtre qu'on oublie
Y a-t-il quelque chose qu'on ne doit
Finirons-nous dans la forêt des regrets amères ?
Y a-t-il un meurtre qu'on oublie
Y a-t-il quelque chose qu'on ne doit
Finirons-nous dans la forêt des regrets amères ?
Nous prenons le sentier vers la droite...
En revenant de la forêt fidèle
J'ai vu venir un soir de mai
Nous passons à cheval devant le castel
Peut-être devrions nous arrêter
Mais les moines vont-ils s'insulter ?
J'ai repris la route de la rivière
J'ai repris le chemin battant
Elle m'a dit viens cette rivière
Et j'ai revu tous mes enfants
Nous étions tous en voyage
Quand un brouillard s'approche
C'est la forêt des regrets amers
Des doutes sans rémissions
Your insanity will prevail...
Y a-t-il un meurtre qu'on oublie
Y a-t-il un meurtre qu'on ne doit
Finirons-nous dans la forêt des regrets amères ?
J'ai voyagé à travers tant
J'ai revu le troisième sang
Et j'ai repris l'âme guerrière
Et j'ai repris l'âme du combattant
Y a-t-il un meurtre qu'on oublie
Y a-t-il un meurtre qu'on ne doit
Finirons-nous dans la forêt des regrets amères ?
Y a-t-il un meurtre qu'on oublie
Y a-t-il un meurtre qu'on ne doit
Finirons-nous dans la forêt des regrets amères ?
L'un d'entre nous décide de rebrousser son chemin
Il y a quelque part derrière lui un remord
Finirais-je avec celui-ci quand je serai mort ?
Quand je serai mort, quand je serai mort
Me dirais-je :
En revenant de la forêt fidèle
J'ai vue venir les oiseaux de mai
Ils m'ont dit que cette frontière
N'est pas plus loin que le premier soir d'été
Nous étions tous en voyage, quand cette aube s'approche
Disparaissent les fantômes du soir de mai
N'ais-je rien oublié ?
Un embaumeur, une églantine
Une rombière, un sarrasin
Un richichi, une pierre au rein
Et tous et toutes de hurler:
Le vilebrequin de tes erreurs,
Percera-t-il tes certitudes?
Et l'illusion de ce bonheur,
N'est-il seulement que l'habitude?