Psy 4 de la Rime Parole de chanson L'enfantIl y a des gosses qui crèvent la dalle et ne profitent pas de leur enfance
Il y a des gosses qui meurent de faim le jour et la nuit meurent en silence
On a tous le droit à la descence ici sur la planete terre
On a pas consience de notre chance alors j'remercie Dieu le père
Pourtant les malheureux ne manquent pas, t'as qu'à faire 4 pas
J'blague pas, les petits gars tiennent mal sur leurs pattes.
A qui tu parles d'éducation, de bonnes manières, morale ?
Des sacandales à la pelle , t'as pas eu le temps d'aller à la chorale
Les larmes me coulent à tout jamais
Si t'envoler ton innocence, ton insoussience
Pas de foyer la pire incohérence
Grandir, délaisser par ses géniteurs c'est pas chose facile
Les félins rodent dans la ville, nulle part il y a terre d'asile
Survivre est une mission pénible,
Le gosse est haut comme 3 pommes
La tentation est grande de ne pas suivre la voix des psaumes
Les hommes sont agressifs résultat il agresse pour se défendre
Il n'a pas de compte à rendre
Bien entendu personne ne cherche à la comprendre.
On nous apprend à être droit comme la tour Eiffel on finit penché comme celle de Pise
On nous apprend à être des hommes, mais la mentalité porte encore des huggies (huggies ?)
Aux pieds pas de courrir mais comme deal on se sert souvent du rakette
Pour avoir des tennis, de la balle, et un Rolland Garros pour attirer les ...fêtes
Se tromper de Lacoste d'à côté pour avoir une réputation en béton
Embettant, prof de maths pour des potes, on finit par manier le béton
Mais son apprentit nourrit dans sa tête incendie qu'est-ce qu'on dit ?
Quand ça bouscule, rien qu'on aurait pu dire Gandhi, pour eux quand diras-t-on ?
Et de la bouffe, des BD,
3 mecs par épisode contrairement à Jacquet n'étaient pas aimé
Nos cousins savent qu'il faut avoir de la caille pour avoir des ailes
Quand mon nez peut être liquide comme la pluie mais elle elle tombe pas du ciel
Dans le noël comme Gascogne, ca cascogne
Dans un match il y a qu'un goal, pas comme le général, il y a deux goals
On dit que l'enfant est père de l'homme
Mais comme c'est partit l'enfant deviendra la feuille et la vie l'automne
Pas de complaintes ni de complices dans la compassion
Il ramène les allocations et ce qu'il ramasse à l'occasion
Normal, à force de jouer à cache-cache ruelle
Des cornes on finit par me pousser comme Strauss, j'accumule les vices, les pousser
Lepen qui veut être en tête, l'êtat endette, les familles prisent de tête
Immigré que je suis casse tout et le FN fait sa fête
Si bête en mouvement constant, sombrer dans le fond, c'est émouvant
Triste sort, ton histoire s'enfonce dans les sables mouvants
Le marchant de sable m'avait promis plein de cadeaux
Comme Chirac se prend pour Noël et lendemain nous mène en bateau
La cerise sur le gateau t'ouvre les yeux
C'est que désolation, pas de place, c'est l'évasion
C'est d'un cauchemar dont il est question
L'absence d'homogénéité est une cruelle carence
Tu restes fort, avance et pense
Pour trouver le sens de ton existance
Qui monte, qui monte, monte, comme une boussole (.....)
Pile, pil de procet verbale, balle qui vole, qui finissent en tole ou au sol,
Seul le soir, pour sortir d'une vie monotone
Colmater les erreurs avec ma clé de sol,
Ou colmater le poisson d'avril de ma vie qu'on me viole
Pourquoi son père n'est pas là pour l'éduquer et le conseiller ?
Pourquoi création, responsabilité sont inconseillées ?
Car les sous à venir, nous saoul à venir, les souvenirs,
On s'y perd souvent sans y revenir
La question de notre devenir.